Cette suite ne raconte pas une histoire, mais propose des mouvements aux regards du spectateur.
Le corps des danseurs n’incarne pas un personnage et le mouvement devient une fin en soi. Pour la forme chorégraphique : souplesse, tendresse, affrontement, énergie ont été la base de recherche pour la réalisation de l’ensemble des figures qui composent cette suite.
La notion esthétique est la donnée fondamentale de ce travail, elle tente de faire disparaître l’effort, la maladresse, le déséquilibre. Sur la scène, la multiplication des focus est accentuée et le spectateur est convié à faire marcher son propre imaginaire.
L’orchestration proposée par nos musiciens est d’une grande sensibilité.
Les danses :
L’amoureuse de Gédéon, le menuet de l’ermite, le passe-pied de Vieuxville et de la Noire Poule, belle si belle, the fumber et la maclotte de Gédéon.