Chers amis de la danse et du folklore ! 
 
Envie de programmer l’un de nos spectacles durant votre événement ou votre festival ?
N’hésitez pas à envoyer un mail à l’adresse suivante pour une demande de renseignement et un devis : pasdlayau@gmail.com 
 
Nos spectacles se composent généralement d’une vingtaine de danseurs et de six musiciens. Ils peuvent durer entre 12 minutes et 1h30 et peuvent être joués plusieurs fois dans la journée. 

Voici les différentes suites dansées par le groupe.

Cliquez sur chaque titre pour accéder aux détails de la suite

Cette suite illustre les danses de travail et de fête.

Avant la révolution industrielle, BELOEIL avait une vocation agricole, comme tous les autres villages aux alentours. Cette suite illustre le travail aux champs, le grain que l’on plante, que l’on concasse avec la danse du moulin. Mais également la Maclotte, la danse des bergers qui illustrent bien les rencontres avec comme aboutissement une jolie Mazurka Valse. Le tout se termine avec le rituel du Mât, symbole de fertilité et de renouveau.

Cette suite représente pour les hommes une des nombreuses traditions de notre région.

Celle-ci veut que la veille du mariage, le futur marié et ses amis, après l’absorption de nombreux breuvages alcoolisés, brûlent le pantalon du futur marié. L’ensemble illustre cette tradition avec de nombreuses danses et chants.

Cette suite illustre le mariage au XIXe siècle en Wallonie

Les jeunes mariés entrent sur scène sous une véritable porte fleurie suivie de la photo avec tous les invités. Une « Allemande » pour les mariés, des maclottes en cascade, une contredanse pour les filles, le « pas de tez » pour les hommes et enfin, comme il se doit, la « tête dans les nuages » pour terminer dans une douce folie collective.

Une suite joyeuse et entrainante.

Les champs, le bétail et la paille laissent la place à l’ère du métal, du charbon et de la vapeur. Produire… Fabriquer… Encore plus et toujours plus vite. C’est la révolution industrielle. La cloche de la fabrique a sonné, il est temps de célébrer les catherinettes et de faire la fête. La Sainte Catherine est célébrée annuellement à Quevaucamps, commune de la Wallonie Picarde, dans les bonneteries. Une fois par an, les ouvrières, reines d’un jour, rendaient hommage à la sainte en chantant, en dansant et en se coiffant d’invraisemblables chapeaux colorés. Elles prenaient les hommes en otage les entraînant dans leur fête. 

Cette suite retrace le passé industriel bonnetier de notre commune.

Chaque ouvrier BALOTIL (l’homme et la machine) avait un rêve « devenir riche plus tard ».

On commence avec le chant du Balotil qui est suivi de la Mazurka des couples. Ensuite les filles interprètent la danse des aiguilles, du fil et des machines. Les hommes suivent avec la danse des ballots et enfin la Polka qui entraînent les spectateurs dans cette époque révolue.

Un bal bien étrange autour des danses rituelles de Wallonie, codifiées et fixées de façon stricte par la tradition.

On peut y découvrir la caracole et le branle séculaire, la danse des Norets, la danse des 7 sauts, l’amoureuse à 3 riquets, la serpentine des olivettes et les kawettes auxquelles se mêlent avec force et frénésie les Chinchins incontournables dans notre région.

Une suite qui puise aux sources de nos traditions.

La mise en scène de cette suite reprend un décor de forêt, d’arbres et d’animaux le tout porté par les danseurs.

A la Renaissance, pour être reçu dans le monde, il fallait non seulement y parler le latin, le francais mais aussi savoir danser, escrimer et jouer au jeu de paume.

Les Bouffons faisaient partie des danses guerrières faisant appel à des passes d’escrime d’inspiration de l’Antiquité romaine célébrant les fêtes sacrées de Mars.

Les danses telles que les mauresques, la gaillarde, la pavane, l’official, le branle de la haye,…donnent vie au décor.

Avec cette fresque, le spectateur est plongé au 16ème Siècle

Le Grand Diable de Ligne, brillant ancêtre du Château des Princes de Ligne de Beloeil, avait forte réputation. L’empereur Charles Quint lui ayant refusé la Toison d’Or pour conduite légère, il a créé l’ordre du Loup.

Avec la Montarde, les branles morgués et la courante, l’ensemble des PAS D’LA YAU vous replonge dans cette époque de la fin du Moyen Age et du début de la Renaissance.

Ces danses retracent la fresque autour de la guerre 14/18.

Les filles…  les gars…  la séparation, la guerre et la fête retrouvée.

Après la chute de Napoléon, les recrues pour rentrer dans l’armée étaient désignées par le Tirage au Sort. Ceux qui avaient tiré le mauvais numéro devaient accomplir un interminable service militaire. La coutume voulait qu’on se fasse photographier à cette occasion et de telles photos sont donc nombreuses.

Retrouvez l’ambiance des bals musettes d’antan.

Résolument plus proche de nous : le rag time, la java, la valse musette…toujours un mélange de musiques traditionnelles et de créations, alchimie parfaite entre le Nord et le Sud du Pays. 

Cette suite propose des mouvements au regard du spectateur. Le corps des danseurs n’incarne pas un personnage et le mouvement devient une fin en soi.

Pour la forme chorégraphique : souplesse, tendresse, affrontement, énergie, ont été la base de recherche pour la réalisation de l’ensemble des figures qui composent cette suite. La notion esthétique est la donnée fondamentale de ce travail.

La musique et le travail des danseurs invitent le spectateur à faire marcher son propre imaginaire.

Suite de danses traditionnelles flamandes

Une suite où le savoir-faire des danseurs est mis à l’honneur sur des airs de polka, mazurka et valse. Laissez-vous emporter dans les mouvements embellis par les costumes rouges et noirs.

Des costumes de corne, de peau, de poil, de cuir, de toile en lambeaux. Complété par le masque, couronné par les cornes et les couronnes florales, le costume ramène le public aux origines des fêtes païennes. Du temps où l’homme en appelait au soleil pour briser les glaces mortelles de l’hiver, à la lune pour que monte la sève en flot nourricier dans la végétation, aux dieux pour qu’ils ouvrent les portes du monde des morts. Autant d’actes magiques de survie qui poussent à la roue afin que le cycle s’accomplisse.

Voici les principaux festivals auxquels ont participé les Pas d’la Yau :

LITUANIE : Riga en 2001

HONGRIE : Szeged en 2006  – Summerfest Szazhalombatta en 2009

ESPAGNE : The first european festival in Valladolid – Europeans of Valencia en 1995 – Moana Galicia en 2005

PORTUGAL : Folk Cantanhede _ Culturas do Mundo en2010

ITALIE :  Rassegna Internazionale Del Folklore _ Castiglione Del Lago en 2015

FRANCE : Festival des Folklores de Bray Dunes en 1991 – Manosque en 2008 – Festival des Folklores de Bray Dunes en 2011 – Festival les Poupées d’or du Folklore d’Étain en 2012 – Festival « Danse avec le monde » Brix en 2013 – Festival international de Folklore de la ville de Chambly en 2014 – Festival du Rouergue « Cultures du Monde » en 2017 – Festival International « Les Folklores du Monde » d’Alançon en 2019 – Festival du Rouergue « Cultures du Monde » en 2024

BELGIQUE : Koksijde Internationaal Folklore Festival en 2008 – Wereldfestival Izegem –  Wereldfestival van Folklore Schoten –  Festival Mondial de Folklore de la ville de Saint Ghislain de 1986 à 2024 – Festival Mondial de Folklore de Jambes en 2022

REPUBLIQUE TCHEQUE : – Internationak Folklore Festival Sumperk en 1993 – Sadska en 1998

CROATIE : Medunarodna Smotra Folklora Zagreb en 2023

Ressource Presse

Voici le CV de notre groupe et vous trouverez ici quelques photos de nos spectacles